Une femme sur trois en France n’est pas épanouie dans sa vie sexuelle bien que, le pays enregistre la plus forte fréquence en termes de rapports sexuels hebdomadaire.
Ni la course aux performances sexuelles, ni la multiplication des partenaires ne soulageraient ces 31% de mères potentielles insatisfaites.
En effet l’IFOP (Institut Français d’Opinion Publique) pointe comme cause de ce mal-être social et familial, un malaise dans la qualité des rapports humains et sentimentaux. Ceci, doublé d’un stress social qui périclite la vie sexuelle des couples. Le réflexe d’un recours à la pharmacie de garde ou aux positions porno n’en résout pas plus le drame. 10% des Françaises ont en moyenne plus de trois rapports sexuels par semaine contre 4% en Allemagne, cependant la qualité manque.
La pression du mariage et des choix sexuels, les montées de courants féministes revanchards, le sexisme, l’accès de la femme au travail dans une suite logique de machinisation de l’homme mêlés à l’hypersexualisation voire l’instrumentalisation publicitaire des nudités entravent-ils l’épanouissement des couples?
En Afrique, devenus moins rare, dans un environnement de forte urbanisation, les divorces sont légions. La Côte d’Ivoire, pays cosmopolite d’Afrique occidentale a enregistré la rupture de 50% des mariages en 2017. Deux ans avant, en France, c’est autour de 123 668 divorces qui ont été dénombrés avec une hausse estimée à plus de 4000 divorces l’année suivante.
Comment construire une société durable avec une cellule familiale épanouie?
L’importance d’une sexualité comblée dans les unions et la bonne santé sexuelle des populations sont des facteurs essentiels de dynamisme social harmonieux. « Une femme peut tout pardonner sauf l’éjaculation précoce », promet un internaute.
Les fondements profonds de l’insatisfaction sexuelle et ces conséquences dans la vie personnelle, familiale et sociale ne doivent être sous-estimés.
Une érection OGM ne convient qu’à une poupée sexuelle.