A Kani, une femme s’étouffe dans un désir. Trouver l’âme sœur qui prie l’Aïd el-Kebir. Depuis des années Allah reste timide. Le silence dans les rues de son cœur s’intensifie.

Amélie dont les stries captivent tous les sexes ici. Si sexy, Amélie pourrait se réveiller avec chaque barbe quelque soit le pari. Mais, ce défi n’est plus son désir. Splendide et jolie, la reine des idylles recherche un unique mari.

L’épouse de ce riche fils de pacha ronfle dans ses draps moisis. L’absence du sieur l’abandonne à tous les vices pour trouver du plaisir. Aussi vil soit-il, cette femme implore un mari viril.

Même si ce dernier n’est pas gentil, Pélagie rêve du mari-messie. Celle-ci monnaie son clitoris pour réaliser ses entreprises.

Où est l’amour se demande-t-elle malgré l’aisance ostentatoire à sa merci. Être femme sans enfants ou sans père au près, c’est le pire.

Alors individuellement, elles prient. Leur sourire enveloppé de beauté parcours les Églises.

Où est l’amour entre ces désirs déchaînés en hantises ? Elles supplient.