C’est un ouf de soulagement car entre 2006 et 2016, le taux d’enfants non enregistrés à l’État civil baisse de 28%. Le ministère de l’administration du territoire s’engage dans le suivi des indicateurs avec le récent annuaire de l’État civil présenté au partenaires sociaux.

Avec 475 sous préfectures, 201 communes et 36 juridictions fonctionnelles, la Côte reste confrontée à plusieurs défis d’identité citoyenne. Apatridie, accès et transparence de l’État civil et même exploitation de données fiables au profit de l’intérêt commun.

L’enregistrement des naissances s’estime seulement à 55,4%. Et dire que la divortialité atteint 46,8%. Quelle rivalité !