Certains agriculteurs ne sont pas rémunérés mais s’investissent à travailler sans relâche pour l’humanité. Parmi ceux-ci, se trouvent les abeilles. Vous avez bien lu, rassurez-vous ! Entre autres, voici pourquoi ces pollinisateurs doivent être célébrés. En Afrique, en Europe et dans l’ensemble de l’espace francophone les initiatives pour la préservation des abeilles et de la biodiversité gagnent en envergure. Par exemple, ce samedi, faites un tour au Parc de l’horticulture dans la ville d’Epernay en France ; du miel et d’autres délices seront servis avec un renforcement de vos bonnes pratiques.
« Devenons la #GénérationRestauration et faisons la paix avec la nature », interpelle le Programme des Nations Unies pour l’environnement. De toutes les façons, à quoi bon continuer cette nuisance quand on sait que la vie humaine dépend de la nature ?
Aussi minuscules puissent-ils paraître, ce sont les pollinisateurs qui font le job de sentinelle pour répandre des semences sur la terre. Ce samedi 24 à Épernay vous en saurai davantage sur la communication animale au cours des ateliers « La danse des abeilles » et « Mes ailes d’abeilles » avec Les petits débrouillards. En plus de déguster du champagne, plusieurs stands et ateliers s’apprêtent à partager avec chaque visiteur le meilleur, lors de cette 3ème édition de La Fête de l’abeille, pour l’amélioration de nos interactions avec la nature.
A ce propos, en Côte d’Ivoire, pays du Cacao, la banque mondiale a tenu un atelier pour une agriculture durable et un cadre d’actions efficaces contre le réchauffement climatique ce 14 mai 2024. Un autre être vivant inspire une organisation dans son engagement pour la protection de l’environnement : il s’agit du ver-de-terre. Insignifiant, en apparence, mais essentiel plus que tous les tracteurs agricoles que l’homme invente. La Fondation Earthworm s’en inspire pour restaurer les forêts et promouvoir l’agroforesterie. En Côte d’Ivoire, l’expérience terrain et l’expertise du lombric captivent et mobilisent plus d’engagements pour l’environnement. « Notre action, c’est de protéger la forêt. Nous contribuons ainsi au respect des engagements de l’État de Côte d’Ivoire, tels que la contribution nationale déterminée. Elle consiste à réduire notre émission de CO2, planter trois (3) millions d’arbres d’ici 2030 et atteindre la neutralité carbone en 2050 », rappelle Gerome Tokpa, Directeur pays de Earthworm. En effet, dans chaque chocolat, il y a surement les efforts d’une abeille, d’un ver de terre et d’un arbre. Alors, pourquoi se priver du plaisir de protéger l’environnement d’actions nuisibles, peut-on s’interroger ? La #GénérationRestauration a compris l’importance et l’urgence d’agir ensemble avec détermination et constance.
Le Député Éric Pauget, exprime sa fierté de proposer des réformes favorable à la vie humaine et au développement durable. « Je suis heureux d’avoir contribué à faire changer la loi, qui reconnaîtra bientôt la filière apicole comme une composante entière et indépendante de notre agriculture », confie-t-il avec la satisfaction de réduire les effets néfastes des pesticides sur la biodiversité et la chaîne de vie.
Chaque élection en Afrique et dans l’ensemble de l’espace francophone doit se présenter comme une opportunité d’améliorer le leadership, la prise de décision et la qualité des actions pour la santé des populations. Cela commence par une gestion durable des ressources naturelles et des biens qui en découlent.
Les droits humains et environnementaux constituent un enjeu électoral vital et primordial. En juin, « le parlement européen que vous élirez aura pour rôle de promouvoir et d’adapter davantage de lois pour protéger la planète et nos droits », sensibilise Human Rights Watch (HRW).