Le royaume chérifien vient en effet de mettre en orbite un deuxième satellite du nom de son roi. Mohamed VI-B doit transmettre des informations liées à la cartographie et au cadastre. Cette technologie servira également à la gestion des catastrophes naturelles, au suivi des évolutions environnementales, ainsi qu’à la surveillance du territoire.
Le lancement s’est effectué mardi 20 novembre depuis la Guyane, un an après la mise en orbite du premier satellite marocain, Mohamed VI-A.
L’Afrique déploie progressivement des dispositifs satellitaires pour accompagner les projets de développement. À ce jour, plusieurs pays dont l’Afrique du Sud, le Nigéria ou l’Égypte ont lancé de appareils dans le ciel quand d’autres y songent de plus en plus.