Voici quatre noms à retenir pour ce BISO 2019: Adejoke Tugbiyele, Bêta Gille Gacha, Beau Disumdi et Precy Numbi. Mais pas que, un accompagnement émérite de l’organisation Solidarité laïque et un message fort qui invite à « oser inventer l’avenir » par l’art et la culture en sus.
La première Biennale Internationale de Sculpture de Ouagadougou(BISO) se tient depuis le 8 octobre jusqu’au 15 novembre 2019 à l’Institut français de la capitale Burkinabè.
Le 1er prix BISO a été décerné a deux dames inspirées par Thomas Sankara. La nigériane Adejoke Tugbiyele, elle réalise une sculpture dénommée « Ange». Et, Bêta Gille Gacha, franco-camerounaise, cette artiste a séduit par ses travaux sur l’enfance et l’éducation environnementale.
Les deux congolais lauréats Beau Disumdi et Precy Numbi décrochent le prix Solidarité laïque.
Encore une fois, au-delà de la menace sécuritaire imposée à ce dynamique pays authentique, le Burkina réussit une nouvelle initiative d’envergure. Tout comme le FESPACO, le BISO devient un positionnement du développement sur des rocs culturels enrichis par l’harmonie de la diversité.