Entre 2011 et 2018, le taux de scolarisation est passé de 89 à 91% en Côte d’Ivoire relève le gouvernement. Malgré, les progrès enregistrés, plus de 25 mille enfants n’ont pas pu s’inscrire dans les écoles du pays.

Sur les ring conflictuels ou d’intérêts multiformes, et devant des politiques inefficaces, les droits fondamentaux de l’enfant sont en souffrance dans le monde, notamment sur le continent. En Afrique, au moins cinq(5) millions d’enfants meurent chaque année avant leur 5ème anniversaire. Les 50% de ces décès ont pour cause la malnutrition. La Convention internationale des droits des enfants doit être « concrétiser ».

L’accès à l’information peut contribuer à soutenir la parentalité et améliorer en permanence un engagement citoyen en faveur de l’alimentation, l’éducation, la santé, la sécurité des enfants.

La faible déclaration des naissances, les grossesses en milieu scolaire, les ravages du VIH continuent de réduire les possibilités d’un avenir reluisant pour chaque enfant de Côte d’Ivoire. Un environnement général d’analphabétisme et de corruption entretient les causes de cette survivance, autant dans ce pays qu’a l’échelle sous-régionale et continentale.

Avec 65% des terres arables de la planète et une démographie galopante, des solutions adaptées aux Objectifs du Développement Durable (ODD) sont à mûrir en synergie, par toutes les couches sociales locales.

De Madagascar à l’ensemble du continent africain, seule la Tunisie affiche une « situation plutôt bonne » pour l’épanouissement de l’enfant, souligne l’ONG Suisse Humanium.