Novembre démarre avec une autre attraction culturelle au Burkina Faso malgré la santé sociale éprouvée par des attaques armées. La 3ième édition des Rencontres Internationales de peinture de Ouagadougou(RIPO) se tient jusqu’au 09 novembre en plus d’une suite alléchante de la BISO.
Voyager à Ouagadougou, c’est savourer l’art dans un quotidien aussi brut que sophistiqué. Au Centre Culturel Naanego, durant plus d’une semaine, des opportunités d’échanges et de découvertes culturelles s’offrent aux festivaliers et aux passionnés de la diversité. La cohésion sociale, le développement économique, grâce à la professionnalisation des filières arts sont au cœur des échanges. L’association pour la promotion des arts plastiques(APAP) mobilise à cet effet, artistes locaux et transnationaux.
Jusqu’au 15 novembre, par ailleurs, Thiémoko Diarra, sculpte l’Institut français en prolongeant la Biennale Internationale de Sculpture de Ouagadougou(BISO) avec son projet Anatopia. Un ensemble d’œuvres qui valorisent l’intégration africaine.
Riche de ses 30ans, la clôture du Théâtre du FITMO ce 2 novembre garde la fierté d’avoir un public nourris par une pluralité de saveurs artistiques dans un rythme de créativité Ouagalais sans fin.
Et pourtant, ces populations sont durement éprouvées par des violences armées successives avec un bilan rouge de haine. Mais, Les armures de la résistance artistiques ravivent la paix au pays des hommes Intègres