Regarde aux cœurs Pour voir l’intérieur De ta propre fleur Jamais elle ne meurt Sur un pan d’heures Savoure ta douceur L’horreur des maux Arrose les noyaux Une beauté au chaud S’élève loin des idiots Tintamarres des trajets Les jours d’or donnés Avec leur ferveur d’aimer Dans la poignée d’aigreur Dans la blessure jumelle Cheminent les merveilles Pourquoi ne pas revivre Avec le matin du dessein Avec le charme souverain D’une fleur qui déjà s’évade Aux vagues qui paradent Tant pis les rayons exaltent Les yeux de l’espérance Jusqu’à la fin de l’errance.