Plus de districts ou plus d’écoles accessibles ? Plus de ministres ou une couverture santé pour tous ? Les dépenses de l’État servent à construire le développement inclusif ou un confort exclusif ? Yamoussoukro n’était pas district mais ses voiries étaient praticables. Presque qu’impeccables, pour une qualité indiscutable. La décentralisation a coulé sous les ponts, chacun veut accéder aux ressources publiques, par la voix du militantisme politique. Une nomination, une innovation administrative, l’application d’une décision latente, n’interviennent que pour un intérêt politique sectaire, à court terme, forcément. Les pays du sud tournent en rond. Mais pas comme la terre. Plutôt, comme des toupies, sans percevoir le soleil à leur fenêtre. Les jeunesses perdent leur vitalité sans repères de productivité dans la pérennité. Le temps passe dans certains pays d’Afrique, comme une mouche intrigante. La vie sociale devient embêtante. Tellement bondée de non sens ou de non conscience. Surtout, de fausses sciences. Une fois les citoyens achetés, il y aura plus de routes pour toutes les déviances, à leur poste à péage. La Corruption Étatique engendre des pays esclaves d’autres pays, eux, construits sur des socles. En Côte d’Ivoire la mortalité mère enfant s’avère parmi les plus élevée au monde. Quant à la qualité et l’accessibilité de l’éducation dans ce pays ainsi qu’en Afrique en l’ouest, les groupes armés et les gouvernants préparent le péril, pour tous. Renseignez-vous auprès des autorités de la ville de Djibo au Burkina Faso, exécutées et capturées. La fuite pour trouver refuge dans ces pays construits n’est pas la panacée. La Corruption Étatique engendre des pays et des dirigeants esclaves.