AfriquePacifique propose à la communauté web de nouvelles initiatives constituées de diffusions de spécialistes dans différents domaines. Pour répondre au slogan « Faire de l’information le remède », l’ensemble des contenus sur afriquepacifique.net éveillent les sens et documentent en faveur de la promotion des droits humains. Sur les défis environnementaux et l’économie agricole, l’Ingénieur Sauvage apporte ses contributions. Suivons !

Avec une production de 848.700 tonnes en 2020, l’anacarde (Anacardium occidentale) s’ajoute au rang des cultures industrielles et génère à la Côte d’ivoire des revenus economiques supplémentaires.

Premier producteur mondial de
noix de cajou, la Côte d’Ivoire introduit l’anacarde, comme une
culture avec peu d’intérêt, pour lutter contre la savanisation. L’anarde se positionnera progressivement parmi les principales mamelles de l’économie de ce pays. Au fil du temps, la culture de l’anacarde obtient une place de choix dans les systèmes d’exploitation agricoles de la zone septentrionale du pays. En baisse, le revenu des producteurs de 305fcfa/kilogrammes fond face à des acheteurs véreux de plus en plus nombreux. Toutes choses néfastes à la stabilité de la filière et à l’économie familiale des paysans.

Contre le changement climatique, l’anacarde permet de constituer des fronts agro-écologiques dans les agro-forêts.

L’Ingénieur Sauvage

Kouakou Nazaire KOUADIO, Ingénieur en Economie Agricole