Ces âmes sombres et viles
Avec leurs mains pâles
Sur les cuisses des filles
Sans égard tels des chacals
En rage, elles dévorent les ânes
Ternissent tous les mœurs
Ricanent du cœur en pleur
Propagent douleur et drame
Ces âmes sombres qui dirigent
Avec leurs dieux liquide
Écoulent leurs larves iniques
Brûlent la vie d’une famille
Dépossèdent la terre de ses racines
Répandent leurs desseins arides
Jusqu’à ce que le ciel maudisse
Le temps et le sang qu’elles pâlissent
Ces âmes qui pensent s’enrichir
Avec leurs vœux perfides
Superposent les briques d’os
Comme la haine sur leur dos
Quand leur château de cartes s’écroule
Elle regarde avec dédain le vent de bout
Au lieu de soigner la puanteur de leur cœur
Ces âmes sombres justifient leurs horreurs.