Quelques soient les vagues malhabiles le long du voyage Les lignes de ton cœur rencontrent mon gouvernail Quand son frère est parti en mer C’était avec son trésor ancré Sans jamais s’éloigner Quelques soient les tonnerres…
…C’est le bonheur que le cœur veut épouser Pour balayer l’occurrence de chavirer Vivre sans voguer mais aimer S’enlacer fidèlement malgré les distances Parcourir l’autre dans chaque goûte d’oxygène Dans le regard, trouver le timbre qui lui dit je t’aime Pour la vie avec toi je pars Quelques soient les vagues.