Où sont passées ces nuits ?
Combien de chaînes les retiennent ?
Pourtant ces rêves te transportent
Du puits ta lumière éblouit.
Au sommet les peuples t’abritent. Avec ces ailes, rien ne peut demeurer pareil.
Toutes les forces se ravivent et concourent.
La voûte a transformé cette écorce, la joie devient insuffisante. Car, tu connais désormais le bonheur. Cette couleur qui, chaque jour te vêtit. Cet appétit de vivre annihilant les colères se répand dans cet air infini.
De partout convergent les convives et ce feu. Voici ton sourire devenu si contagieux. Ce regard sobre et élégant, d’humble fortune. Continue le chemin… Il est déjà construit.
Le génie de polir, le respect pour entretenir, ces courages et cette patience s’entendent depuis les entrailles. Ces enfants déhanchant accourent pour vivre. Oui ! Désormais ils existent. Les naïfs de la terre !
Les contemplatifs du bien-être pérenne.