Au moins deux(2) bars partis en fumée dans la nuit de ce Dimanche 14 juillet au Lundi 15. Des prostituées jambes à leurs cous escaladent les clôtures.

Les populations des quartiers Daoudabougou et Kalaban Coura se sont révoltées au point d’incendier les Bar Biton, Sam et l’hôtel Y XINM.
A l’origine de cette grosse colère, des pratiques lubriques en commerce dans ces lieux en plus de la propagation de la vente de d’alcool. L’éducation de la jeunesse est critiquée.

Plusieurs proxénètes et commerçantes du sexe venues du Nigeria prospèrent en ces différents espaces présentés comme des secteurs de loisirs.

Une grosse perte pour ces expatriés, soldats d’armées, travailleurs des mines et autres friands locaux des délices épicés de silhouettes dénudées exposées. Ce soir du Dimanche 14 juillet, à Daoudabougou, la célébration de la fête nationale française a connu d’autres types d’escalades et parades. Le sauve-qui-peut !

Les populations après avoir dénoncer et protester sont passées finalement à l’action. Le ras-le-bol de voir nez à nez mosquées et bars a dégénéré en violences.
Entre atteintes aux moeurs, éducation socioculturelle et libertés, l’État grâce aux lois adaptées et suivies a un rôle important à jouer pour éviter les dérapages.